Free Software (Software libre) et pauvreté
Le monde du brevet du software, licences, et d’autres instruments légaux et techniques, fonctionnent de telle manière qu’ils arrivent au point d’inhiber le partage de la connaissance et de l’information, faisant ainsi que certaines de leurs éléments deviennent patrimoine exclusif des entreprises qui ont créé le software, alors que dans le monde du Free Software, pareillement à ce qui se passe dans le domaine publique, le savoir est considéré comme patrimoine de l’humanité.

Éducommunication-Éducation aux Médias
Éducommunication-Éducation aux Médias en général et aux techniques de l’information et de la communication en particulier, are des approches inhérentes à l’activité éducative de la Société salésienne. Par ailleurs, son option préférentielle pour les jeunes provenant de secteurs populaires et marginalisés de la société, ainsi que la défense de leurs droits, est l’une des caractéristiques constitutives de l’esprit salésien.

Avec le support du Département de Communication Sociale
Le Département de Communication Sociale, dans un rencontre à Sao Paulo (Septembre 2007), a vu la nécessité de clarifier et de penser sur la terminologie et les principes impliqués dans le Free Software; sur ses motivations évangéliques, éthiques, éducatives et économiques. Il a aussi considéré la nécessité de clarifier l’idée sur 'open source' comme un code ouvert, comme une culture et comme un mouvement ; la complexité de la relation entre FLOSS et éthiques ; et comment les Centres salésiens de communication, pourrait-ils réduire la « ligne de démarcation digitale ». En outre, cette rencontre a recommandé les Instituts salésiens d’Éducation Supérieure (IUS) d’analyser le FLOSS, particulièrement ses aspects culturels et éducatifs, et l’organisation d’un Congrès à Quito, en Octobre 2008.

UPS, Quito
Vers la fin février 2008, P. Luciano Bellini sdb, Recteur de l’UPS a mis sur pied la commission du Congrès et invité d’autres à la rejoindre. Ce groupe a commencé planifier le Congrès qui a pris comme titre : « Congrès International du Free Software et de Démocratisation de la Connaissance ».

Le Congrès
Le Congrès a cherché de renforcer et promouvoir la responsabilité sociale à travers l’utilisation du free software et la démocratisation de la Connaissance. Pendant quatre jours le Congrès a développé les thèmes suivants : Production et consommation du savoir dans les frontières du monde digital, par Michel Bauwens (Belgique); dimensions éthiques et politiques dans la culture du free software, par Charles Escobar (Équateur); droits et équité dans la construction démocratique du savoir, par P. Julian Fox sdb (Rome), et perspectives éducommunicatives dans le soi-disant « troisième environnement (digital) », par Ismar de Oliveira Soares (Brésil)

Les mesures de l’avant Congrès, ont été fournies via vidéoconférence aux campus de l’UPS à Cuenca et Guayaquil, ainsi que via Internet. F/LOSS a aussi été offert pour installation à tous les participants.